11/12/2014

Biyolojik ırk yok - Her zaman ırk ile ilişkili, yanlış ilişkili : istihbarat, doğum oranı, ... vb ve hatta beyin boyutu. Irkçılık siyasetleri = Yaşadığımız yolu kontrolü

There Is No Such Thing as Race -  In 1950, the United Nations Educational, Scientific and Cultural Organization (UNESCO) issued a statement asserting that all humans belong to the same species and that “race” is not a biological reality but a myth. This was a summary of the findings of an international panel of anthropologists, geneticists, sociologists, and psychologists. Today the vast majority of those involved in research on human variation would agree that biological races do not exist among humans. Among those who study the subject, who use and accept modern scientific techniques and logic, this scientific fact is as valid and true as the fact that the earth is round and revolves around the sun. Most educated people would accept the facts that the earth is not flat and that it revolves around the sun. However, it is much more difficult for them to accept modern science concerning human variation. Why is this so? For the past 500 years, people have been taught how to interpret and understand racism. We have been told that there are very specific things that relate to race, such as intelligence, sexual behavior, birth rates, infant care, work ethics and abilities, personal restraint, lifespan, law-abidingness, aggression, altruism, economic and business practices, family cohesion, and even brain size. We have learned that races are structured in a hierarchical order and that some races are better than others.  There is no inherent relationship between intelligence, law- abidingness, or economic practices and race, just as there is no relationship between nose size, height, blood group, or skin color and any set of complex human behaviors. These teachings have led to major injustices to Jews and non-Christians, to blacks, Native Americans, and others during colonial times; to African Americans during slavery and reconstruction; to Jews and other Europeans during the reign of the Nazis in Germany; and to groups from Latin America and the Middle East, among others, during modern political times. Many of our basic policies of race and racism have been developed as a way to keep these leaders and their followers in control of the way we live our modern lives. These leaders often see themselves as the best and the brightest. Much of this history helped establish and maintain the Spanish Inquisition, colonial policies, slavery, Nazism, racial separatism and discrimination, and anti-immigration policies. Recent studies have shown us that humans have been migrating since Homo sapiens evolved some 200,000 years ago. This migration has not been in one direction but had happened back and forth. Our genes have been mixing since we evolved, and our genetic structure looks more like a complex, intermixed trellis than a simple candelabra. Because of the extensive evidence for genetic interchange through population movements and recurrent gene flow going back at least hundreds of thousands of years ago, there is only one evolutionary lineage of humanity and there are no subspecies or races. . . . Human evolution and population structure has been and is characterized by many locally differentiated populations coexisting at any given time, but with sufficient contact to make all of humanity a single lineage sharing a common, long-term evolutionary fate. The concept of human races is real, but it is not a biological reality, however, but a cultural one. Race is not a part of our biology, but it is definitely a part of our culture. Race and racism are deeply ingrained in our cultural history. It seems that the belief in biological human races, carrying along with it the prejudice and hatred of “racism,” is so embedded in our culture and has been an integral part of our worldview for so long that many of us assume that it just must be true.  - Summary of an article By Robert Wald Sussman
La race est un mythe - En 1950,L' Organisation des Nations Unies pour l'Education, la Science et la Culture (UNESCO) a publié une déclaration affirmant que tous les humains appartiennent à la même espèce et que la 'race' n'est pas une réalité biologique mais un mythe culturel. Cette déclaration est un résumé des conclusions d'un groupe d'experts, anthropologues, généticiens, sociologues et psychologues. De nos jours une large majorité de ceux qui ont travaillé dans le domaine de la recherche sur les variations génétiques ou sur les modifications culturelles de l'homme seraient d'accord pour affirmer que les races biologiques n'existent pas au sein des humains. Parmi les scientifiques qui effectuent des recherches sur ce sujet, qui utilisent les techniques et la pensée logique moderne, cette affirmation est aussi vraie que de dire que la terre est ronde et tourne autour du soleil. Les gens instruits accepteraient le fait que la terre n'est pas plate et qu'elle tourne autour du soleil. En revanche, accepter les réalité des sciences modernes sur les variations génétiques et les modifications des êtres humains paraît beaucoup plus compliqué. Pourquoi ? Ces 500 dernières années, on nous a inculqué les méthodes pour interpréter et comprendre le racisme. On nous a indiqué les données précises relatives à la race, telles que l'intelligence, le comportement sexuel, le taux de natalité, les soins aux enfants, les normes et compétences dans le travail, privation de liberté, durée de la vie, respect des lois, agression, altruisme, pratiques économiques et d'entreprise, cohésion familiale et même taille du cerveau. Nous avons appris que les races sont classifiées dans un ordre hiérarchique défini au sein duquel certaines races sont mieux que les autres. Il n'existe aucune relation inhérente entre le respect des lois, les pratiques économiques et la race, tout comme il 'existe aucun lien entre la taille du nez, la taille du corps, le groupe sanguin ou la couleur de peau et une série de comportements humains complexes. Cet apprentissage est à l'origine des principales injustices envers les Juifs, les non-Chrétiens, les Noirs, les Natifs d'Amérique, les Afro-Américains, souche des inégalités sur lesquelles se sont construits les régimes totalitaires, le colonialisme, le Nazisme, les guerres de religions, l'esclavage. Les temps modernes témoignent encore de certaines survivances notamment envers le Monde Arabe, les Musulmans ...etc. Les nombreuses politiques sur la race et le racisme se sont développées en devenant, pour les dirigeants, un moyen de contrôle sur nos manières de vivre l'époque moderne et de garder leur pouvoir ; car ils se considèrent comme meilleurs et plus intelligents. La plupart de cette histoire a contribué à la mise en place et au maintien des régimes d'inquisition en Espagne, des politiques coloniales, de l'esclavage, du Nazisme, de la discrimination raciale et des politiques strictes de lutte contre l'immigration. De récentes études on montré que les humains ont immigré depuis l'homo-sapiens il y a 200 000 ans. Cette ancienne migration ne s'est pas faite dans une seule direction mais s'est poursuivie au gré de nombreux méandres successifs. Depuis l'aube de notre évolution, nos gènes sont en constante mutation et notre structure génétique ressemble plus à un canevas de types humains entremêlés qu'à un simple candélabre. Compte tenu des nombreuses preuves de mutations génétiques grâce aux mouvements de populations et au flux génétique régulier que l'on retrouve déjà des centaines de milliers d'années auparavant, il n'existe dés lors qu'un lignage unique de l'humanité et les sous-espèces ou races n'existent pas. L'évolution des hommes et la structure des populations ont été et sont encore caractérisées par de nombreuses populations localement différenciées qui coexistent à un moment donné , et se rapprochent suffisamment pour faire de l'humanité un lignage unique destiné à partager un processus évolutif commun à long terme. Le concept de race humaine est réel, mais ne correspond à aucune réalité biologique mais plutôt culturelle. La race ne concourt pas à notre héritage biologique, mais fait résolument partie de notre héritage culturel. Race et racisme sont profondément enracinés dans notre histoire culturelle. Il apparaît que la conviction de l'existence de races humaines biologiquement hétérogènes portant avec elle les préjudices et la haine issus du racisme fait si malheureusement bien partie de notre culture qu'on en croit naïvement le postulat. Résumé et traduction d'un article de Robert Wald Sussman

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