1/04/2013


NULIAVUK, TALULIUK, SEDNA …. SEA GODDESS 


Among the most famous of the vast array of myths is the legend of the sea goddess who has various names (Sedna, Nuliayuk, Taluliyuk), the legend of Lumiuk (Lumak, Lumaag), the legend of Kiviok and the legend of Tiktaliktak.
Some young children were playing near a tidal ice barrier with many dangerous hidden cracks. Their grandmother crept with great care down among the ice hummocks and from a hidden position called out, "Oohhwee, Oohhweee!". The children ran back onto the land and said the sea goddess Taluliyuk had frightened them. Later, the grandmother said, "I told them about the woman who lives under the sea. Now she will keep them away from the dangerous places." The grandmother was referring to the powerful sea goddess in this central Arctic song:
That woman down there beneath the sea,
She wants to hide the seals from us.
These hunters in the dance house,
They cannot mend matters.
They cannot mend matters.
Into the spirit world
Will go I,
Where no humans dwell.
Set matters right will I.
Set matters right will I.


NULIAVUK, TALULIUK, SEDNA …. DEESSE DE LA MER

Les mythes les plus célèbres parmi la grande variété de mythes inuits comprennent la légende de la déesse de la mer aux noms divers (Sedna, Nuliayuk et Taluliyuk), celle de Lumiuk (Lumak, Lumaag), celle de Kiviok et celle de Tiktaliktak.
De jeunes enfants jouaient près d'une barrière de glace causée par la marée, pleine de fissures dangereuses et cachées. Leur grand-mère rampa avec beaucoup de soin à travers les chaos de glace et, cachée non loin, elle s'écria : « Oohhwee! Oohhweee! ». Les enfants revinrent à la course sur la terre ferme en disant que la déesse de la mer Taluliyuk les avait effrayés. Plus tard, la grand-mère déclarait : « Je leur ai parlé de la femme qui vit sous la mer. Maintenant, elle les tiendra loin des endroits dangereux ». La grand-mère faisait ici référence à la puissante déesse de la mer, muse de cette grande chanson de l'Arctique :
Cette femme là-bas, sous la mer,
Tous les phoques s'empresse-t-elle de cacher.
Ces chasseurs qui dansent sur des airs,
Ne peuvent y remédier,                                       
Ne peuvent y remédier.
Dans le monde des esprits
Je m'enfuis
Là où l'humain n'est établi.
Y remédier je le puis,
Y remédier je le puis.

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